Alechinsky, l’œil du peintre

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Un film de Robert Bober (1997, 70′)
Au départ, l’i­dée est de deman­der à Pierre Alechinsky ce qu’il pense de la repro­duc­tion de ses tableaux cap­tés par une camé­ra. Mais très vite, le peintre va entraî­ner le cinéaste dans son univers…

BILL VIOLA, EXPÉRIENCE DE L’INFINI

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Un film de Jean-Paul Fargier (2013, 52′)

Pionnier de l’art vidéo, Bill Viola ne cesse de repous­ser les limites du réel et de nos per­cep­tions. Vie, mort, trans­cen­dance, temps, espace sont les ques­tions qu’il a choi­si de sou­le­ver au tra­vers d’un médium sans cesse réin­ven­té. Ce film nous per­met de com­prendre le che­mi­ne­ment spi­ri­tuel, la quête artis­tique et l’expérimentation tech­no­lo­gique de celui que l’on pré­sente comme un « sculp­teur de temps ».

Daniel Buren

Un film de Camille Guichard (2000, 52′)

Autour d’un long entre­tien entre le sculp­teur Daniel Buren et le cri­tique d’art Guy Tortosa et de leur déam­bu­la­tion dans les expo­si­tions de l’ar­tiste, Camille Guichard revient éclai­rer les démarches mili­tantes d’un artiste célèbre mais fina­le­ment plu­tôt méconnu.

 

Contacts – Christian Boltanski & La danse des ombres

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Contacts – Christian Boltanski, Alain Fleischer (2002, 13′)

Contacts est une série sur les pho­to­graphes. Cet épi­sode est consa­cré au tra­vail de Christian Boltanski. Ses pho­tos per­mettent de péné­trer l’u­ni­vers de l’ar­tiste, un uni­vers mar­qué par la mort, le temps, la mémoire et l’anonymat.

La danse des ombres, un film de Simone Mohr (1989, 46′)

Portrait lumi­neux d’un artiste à l’u­ni­vers sombre, Christian Boltanski, deve­nu une figure incon­tour­nable de l’art contemporain.

De larges détails : sur les traces de Francis Alÿs

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Un film de Julien Devaux (2005, 55′)

Un por­trait de Francis Alÿs réa­li­sé par celui qui filme habi­tuel­le­ment ses per­for­mances. Julien Devaux nous plonge dans l’a­te­lier, les recherches et les ins­tal­la­tions de l’ar­tiste belge contemporain.

Conz, l’ultimo collezionista

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Un film de Roberto Delvoi (2021, 59′)

L’histoire de l’une des figures les plus contro­ver­sées de l’his­toire de la col­lec­tion d’art, dont le nom conti­nue de sus­ci­ter débats et controverses.

 

Le siècle de Simenon

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Un film de Pierre Assouline (2013, 52′)

Après Le Siècle de Cartier-Bresson, Pierre Assouline retrace Le Siècle de Simenon. À tra­vers le regard et la parole de l’homme aux 400 livres et aux 10 000 femmes, créa­teur du com­mis­saire Maigret, le film dit tout de sa vision de la lit­té­ra­ture, des femmes, de la jus­tice, du crime, de la poli­tique et du monde des petites gens dont il était issu.

 

Hergé à l’ombre de Tintin

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Un film d’Hugues Nancy (2016, 81′)

Par une immer­sion dans l’univers de Tintin et une décons­truc­tion du pro­ces­sus créa­tif du des­si­na­teur belge, ce film de Hugues Nancy, pro­duit à l’occasion de l’exposition Hergé au Grand Palais à Paris, retrace tout le par­cours de Georges Remi, dit Hergé. Dans cha­cune des périodes de la vie d’Hergé, depuis son impli­ca­tion dans le mou­ve­ment scout lorsqu’il était jeune jusqu’à sa fas­ci­na­tion pour l’art contem­po­rain qu’il entre­tien­dra long­temps, Tintin n’est jamais bien loin. Les archives et témoi­gnages per­mettent d’appréhender le phé­no­mène Tintin, qui a fini par dépas­ser son créa­teur. On découvre un homme sur­doué et achar­né qui, à la fin de sa vie, se des­si­nait en pri­son­nier, enchaî­né à sa table à dessin.

 

L’énigme Chaland

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Un film d’Avril Tembouret (2018, 86′)

En 1990, Yves Chaland, des­si­na­teur et pro­dige de la bande des­si­née, dis­pa­raît à l’âge de 33 ans. Vingt cinq ans plus tard, son sou­ve­nir est éton­ne­ment vivant.

Des auteurs aus­si incon­tour­nables tels que Berbérian, Clerc, Floc’h, Gaccio, Lepennetier, Margerin, Roussin, Zep ou l’ac­teur Benoit Poelvoorde se réclament de lui comme d’un maître, et son œuvre, d’à peine une dizaine d’albums, semble conser­ver une puis­sance d’évocation intacte. Mais à quoi tient cette étrange excep­tion, unique dans l’histoire de la bande dessinée ?

 

Le Cubisme

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Une grande tra­ver­sée du cubisme, de ses ori­gines jusqu’à sa bana­li­sa­tion à l’Exposition inter­na­tio­nale des Arts déco­ra­tifs de 1925, en pas­sant par les peintres, les tableaux majeurs, les lieux, les événements…

Le cubisme a cer­tai­ne­ment été la plus impor­tante révo­lu­tion plas­tique du XXe siècle pro­po­sée sur la sur­face plane d’un tableau. Le film est un voyage à vive allure à tra­vers ce mou­ve­ment, depuis ses ori­gines (Paul Cézanne, “l’art nègre”, l’art des Cyclades) jusqu’à sa bana­li­sa­tion à l’Exposition inter­na­tio­nale des Arts déco­ra­tifs de 1925 en pas­sant par les tableaux et les peintres majeurs : Pablo Picasso, Georges Braque, Juan Gris, Marcel Duchamp, Fernand Léger, etc. Le film ne s’en tient pas aux artistes mais aborde éga­le­ment le contexte envi­ron­nant avec le mar­chand Daniel-Henry Kahnweiler, les lieux (Le Bateau Lavoir, La Ruche), les évé­ne­ments (la repré­sen­ta­tion du bal­let ‘Parade’ d’Éric Satie ima­gi­né par Jean Cocteau, avec des décors et cos­tumes signés Picasso). Cette matière très dense est por­tée par des inter­views d’historiens et de témoins, des bandes d’actualité, beau­coup de vues de Paris, des extraits de films sur les peintres et, évi­dem­ment, des tableaux. Le com­men­taire, truf­fé de cita­tions, est his­to­rique et informatif.<