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Un film de Yann Kassile (2005, 55′)
Loin des clichés sur la peinture bourgeoise et légère du peintre français Pierre Bonnard, Yann Kassile revient sur ses œuvres, ses notes et ses textes pour nous donner à en comprendre la méditation philosophique.
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Un film de Myriam Raccah (2023, 69′)
En Sardaigne, les Domus de janas (littéralement « maisons des fées ou des sorcières ») sont des sépultures préhistoriques qui ont ensuite servi d’abris aux bergers et bergères. Ce trait d’union entre passé et présent, légendes et réalité est ce qui va conduire la cinéaste Myriam Raccah à explorer un territoire insulaire tissé de vieilles histoires et de chants et menacé par l’oubli et les feux.
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Un film de Sophie Fiennes (2011, 53′)
À Barjac, dans le sud de la France, l’artiste allemand Anselm Kiefer a créé un immense terrain d’expérimentation de 40 hectares fait de tours, de salles immenses, de galeries et de sous-terrains. Cet atelier de renommée mondiale est devenu lui-même une grande œuvre d’art totale au cœur de la nature et offre aujourd’hui au public la vision d’un monde apocalyptique et hanté par l’histoire.
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Un film de Violaine de Villers (2022, 52′)
Loin des mondanités et des obligations, elle a décidé depuis longtemps d’être elle-même, une femme qui peint, une femme qui écrit, une femme qui cultive son jardin, une femme qui rit… une femme qui vit ! Portrait d’une amitié en toute liberté.
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Un film de François Levy-Kuentz (2019, 73′)
Il était temps de reconnaître le travail de l’artiste néerlandaise Jacqueline de Jong qui, toute sa vie, a expérimenté formes et styles pour produire un travail à la fois joyeux et subversif. Ce portrait amoureux lui rend un hommage mérité.
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Un film de Marie-Eve de Grave (2019, 52′)
Femme engagée, au cœur des avant-gardes, elle côtoie Man Ray, André Breton, Georges Bataille. Devenue compagne de Picasso, elle aiguillonne son travail, le pousse à s’engager, accompagne la création de Guernica. Sous son influence, elle abandonne la photographie pour la peinture. Elle devient aussi son modèle, la femme qui pleure, la femme déstructurée de ses portraits. De cette relation toxique qui va durer 9 ans, elle va sortir décomposée, littéralement. Traitée aux électrochocs, ce n’est que très lentement qu’elle se reconstruit dans l’isolement de sa maison du Luberon.
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Un film de Pedro Morato (2022, 64′)
Un célèbre danseur de flamenco espagnol renonce à sa carrière pour s’occuper de sa mère, atteinte de la maladie d’Alzheimer. Tout en prenant soin d’elle au quotidien, il entame un spectacle dans lequel il tente de réaliser le rêve frustré de sa mère d’être danseuse de flamenco.
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Un film de Jean-Paul Fargier (2013, 52′)
Pionnier de l’art vidéo, Bill Viola ne cesse de repousser les limites du réel et de nos perceptions. Vie, mort, transcendance, temps, espace sont les questions qu’il a choisi de soulever au travers d’un médium sans cesse réinventé. Ce film nous permet de comprendre le cheminement spirituel, la quête artistique et l’expérimentation technologique de celui que l’on présente comme un « sculpteur de temps ».
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Un film de Gaëtan Saint-Rémy (2021, 85′)
Jean-Michel Folon est un des artistes les plus connus de sa génération. Adulé, controversé, oublié, il a traversé des événements peu connus qui ont transformé en profondeur sa vie et son être.
Il se raconte ici par le biais d’archives inédites.
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Un film d’Alain Gomis (2022, 65′)
Avec Rewind and Play, Alain Gomis déconstruit le discours de l’émission “Jazz Portrait” plus de 40 ans après sa diffusion pour nous proposer un autre point de vue, celui du musicien. Le réalisateur retravaille ainsi plus de deux heures de rushes retrouvés pour mettre en lumière la violence symbolique qu’un exercice médiatique comme celui-ci représente pour un artiste noir dans les années 1970 en France.